Le projet comportait plusieurs contraintes, notamment techniques. Le dessin devait être réalisé au trait, avec une épaisseur minimum de 1 cm sur une bande de 1,5 m de hauteur et 7 m de long, avec une coupure en son milieu correspondant à l’emplacement d’une porte. Un véritable défis technique !

Pour la partie artistique, la direction de La Luciole m’a laissé carte blanche afin de proposer une interprétation artistique de ses missions et de sa programmation. Après plusieurs propositions, échanges et aller/retour, j’ai orienté la création autour des émotions que procurent la musique : sensations, vibrations, pleurer de joie, rire aux larmes, prendre aux tripes, etc. Ce qui donne cette vague infinie, où se mêlent instruments de musiques, partitions, ondulations… émanant du bâtiment emblématique.